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récits(1986) ésotériques et exotériques

Evènements 
Mr Bonnard souffre,il est au chomage ;les dettes s’accumulent pour lui et sa femme ;rien ne va plus ;en effet son malaise le pousse à faire un transfert de ses émotions et son entourage subit ;que la vie est difficile !on frappe à la porte et nous voici devant cet homme gouverné d’une énergie nouvelle ;le verbe est propre et séduisant ;comment ne pas succomber ?comment ne pas adhérer à ce mouvement qui est un appel à une identification ?enfin mr Bonnard vient d’entendre l’appel et le voilà sympatisant d’un mouvement où la parole devient le vecteur nécessaire ;à présent mr Bonnard connaît les responsables de son enlisement… 
L’histoire d’un homme qui finit par etre attachant,car il devient conscient de sa manipulation le jour où il est sauvé par un médecin juif… 
extrait: 
EVENEMENT 
Chaos : 
Des bruits identiques à des détonations me tirèrent d’un long sommeil, la première fatigue en moi se déclara et s’imposa par un rêve où mon être s’était aventuré sans feu ni lieu : 
- « Il est onze heures sonnantes » chantonna ma compagne en jetant avec violence le dernier volet contre l’innocent mur de l’appartement. La clarté pénétra totalement. JOsiane, tel était son prénom, avait remonté suffisamment haut son soutien-gorge de quoi rassembler dans cet ultime effort le peu que sa maigreur offrait. Silencieux jusque dans l’acte, je l’observais ; elle s’affairait autour du lit ; j’aurais voulu lui dire un mot tendre, hélas ! Maintes et maintes situations me l’interdisaient, aussi, je souhaitais intérieurement ne plus la voir. Elle sortit et je restais seul avec ma songerie pour unique souffrance. Ainsi, j’étais pensif, et lorsque je quittais cette vie obscure, je me heurtais à cet avenir sombre qui avait l’exigence de me laisser aussitôt naviguer mon regard par dessus mon épaule, là où le coeur s’émerveillait du temps où coulaient l’abondance, le bonheur et la richesse d’exister ; de guerre lasse, comme l’expérience me l’avait déjà appris, je préférais réagir. Je me levais, je m’habillais d’un peignoir aux couleurs altérées et je glissais avec difficultés mes pieds à l’intérieur de mes chaussons éculés par le dégoût. Lorsque je pénétrais dans la cuisine odoriférante, JOsiane me trouva accueillant du visage et élégant dans la tenue ; je n’étais pas à jour que quelques instants auparavant, elle ferma les yeux, préservant toujours ce visage avenant et dans cette fausse obscurité, d’emblée, elle s’avança, ses mains de porcelaine gentiment vers moi ; quand elle me toucha, elle pencha légèrement la tête afin de mieux écouter les battements de mon coeur adoré, collée à moi chaleur contre froideur ; son impassibilité la rendit impatiente, elle céda la première : 
- « A quoi pense tu ? » Chuchota-t-elle de sa voix féminine de douceur. 
- A notre médiocre amour, à notre vie abjecte, répliquais-je d’un ton preste et dédaigneux. 
- Je t’en prie, ne me contrarie pas supplia-t-elle. 
Je la fixais et sa faiblesse éclata. Elle eut une trémulation du menton qui s’accompagna d’un flot de larmes. Prise par la douleur comme si une souffrance térébrante s’était emparée d’elle, elle tordait sa face de mousseline. Je soupirais fortement. 
- La société nous appauvrit JOsiane ! Criais-je désespérément, la vie, c’est attendre que et s’attendre à, il faut que ça change, qu’importent les moyens ! Je fonçais brutalement sur le buffet de la salle à manger et j’en revins aussitôt parti, je tremblais de fureur en retirant maladroitement une lettre de son enveloppe que je lisais hautement : 
« Monsieur PHilippe BOnnard, nous avons le regret de vous informer qu’à partir du 20 décembre... vous n’aurez plus droit aux indemnités... » 
- « Voilà les pires tourments qui s’annoncent, joli cadeau de noël ! » J’avais du mal à rencogner mes larmes, « JOsiane ! JOsiane ! Où se perdent nos belles perspectives ? » Je m’étais bien rapproché d’elle de telle sorte que je l’agitais par les épaules, soudainement une sonorité vint se greffer sur nos deux souffles ; elle interrogea mon regard muet. 
- Je ne suis là pour personne murmurais-je avant de m’éclipser dans la pièce voisine. Dès lors JOsiane de nouveau seule, se coiffa des paumes de ses mains, effaça l’humidité de ses joues et se dirigea vers la porte d’entrée. Quand elle ouvrit, 
 
Merzoug l’instable, 
 
Je la veux les yeux grands,le teint clair,le nez droit,une femme qui aime et qui respecte l’homme,qui se soumet et prend peu la parole.Une femme capable de donner des enfants,au moins un garçon.En somme,je veux une épouse qui à mon retour du travail vienne me déchausser les pieds… 
Sa mère l’écoutait,comme s’il fut un monarque et faisait »oui oui » de la tete. 
Et nous voilà embarqués dans les péripéties de la vie de Merzoug,un adepte des traditions surtout quand elles l’arrangent… 
Une histoire melee d’humour,de légèreté,de tragédies comme la vie les réserve.Une histoire où apparaissent les contradictions de l’homme,où l’homme est manipulé afin qu’il sache où réside le véritable maitre. 
 
 
La vérité tue 
 
Chère maman, 
Pardonne moi et comprends l’incomprise qui te quitte.J’ai souvent abandonné la réalité pour m’alleger dans les bras du reve…sur ce je t’embrasse très fort,les larmes tombèrent.Elle se lit à travers l’humidité des yeux…Elle voit son corps,elle est détachée et surtout libérée ;elle s’en va obéissante ;ni sa jeunesse,ni sa beauté,ni sa féminité n’ont pu la libérer de l’indifférente destinée. 
Valérie a 15 ans à peine et sa souffrance est immense,sa fragilité face au monde des épreuves et nous l’accompagnons tous dans une étrange expérience de la mort qu’elle s’inflige. 
 
Drame à Birniou 
 
L’homme qui pédalait à la vitesse de la paresse s’appelait Raymond…Quand il distribuait son courrier… 
Où la vie brutalement sur des interprétations telle que l’apparence les distribue s’accelère vers le drame d’un village si paisible.Comment ce facteur si aimable,si avenant est il arrivé à tuer ?à son départ les personnes agees disaient »quel charmant jeune homme,ou c’est un bon gard ! » ;le curé le prenait en exemple :voilà l’homme qui vit selon les meilleurs principes,depuis son arrivée parmi nous,je vois briller une lueur entre ses yeux,cette lumière s’appelle l’amour de sa famille et des humains… 
 
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Modifié en dernier lieu le 2.04.2008
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